👪 Famille, enfants et parentalité

On a tous quelqu’un dans notre entourage qui a ce talent particulier : transformer n’importe quel rayon de soleil en nuage gris. Oh que c'est lourd! Un collègue qui critique tout, un ami qui se plaint constamment, un membre de la famille qui ramène toujours les conversations vers ce qui ne va pas. Malgré toute notre volonté, passer du temps avec ces personnes peut laisser une trace (ou DES traces!) : irritabilité, lourdeur, fatigue mentale, perte d’énergie. La question es

À l’approche des Fêtes, beaucoup se sentent à bout de souffle : listes interminables, échéances au travail, obligations familiales… et un cerveau qui refuse littéralement de se mettre sur “pause”. Quel sera le cadeau de cet oncle qui a tout ou de cet ami ''difficile''?

Les émotions des enfants peuvent être… intenses. Une colère soudaine parce qu’un jeu est terminé, des larmes incontrôlables après une remarque blessante, ou encore un repli total lorsqu’ils se sentent dépassés.Comme parent, ton instinct te pousse à protéger ton enfant, à effacer le malaise le plus vite possible. Mais à force de vouloir éteindre chaque petite tempête, on risque de l’empêcher de développer la capacité de naviguer seul dans les eaux parfois agitées de ses émotio

Vieillir, c’est accumuler une richesse inestimable de souvenirs, de relations et d’expériences. Mais c’est aussi être confronté à une réalité douloureuse : celle des pertes successives. Chez les personnes âgées, le deuil prend une dimension particulière. Non seulement elles peuvent perdre leur conjoint ou leur conjointe, mais elles voient aussi disparaître peu à peu des amis, des compagnons de route ou des membres de leur génération. Ce cumul de pertes provoque un sentiment d

Les films pour enfants laissent parfois place à des histoires plus sombres et aux costumes effrayants. Pour certains jeunes, cette période est un moment excitant, rempli de rires et de bonbons. Mais pour d’autres, ces images et ces bruits réveillent une émotion puissante : la peur. La peur n’est pas seulement une réaction passagère. Elle fait partie de notre fonctionnement cérébral, elle a un rôle biologique et évolutif précis...

On parle souvent du manque de sommeil comme d’un petit désagrément temporaire, quelque chose que l’on peut « rattraper » plus tard. Pourtant, la privation de sommeil, qu’elle soit occasionnelle ou chronique, agit comme un poison lent pour le cerveau, le corps et l’équilibre psychologique. Peu importe l’âge, personne n’y échappe… mais ses effets varient selon les étapes de la vie.

Avoir peur, c’est humain. Mais quand la peur devient une compagne constante, qu’elle s’immisce dans le quotidien jusqu’à empêcher de fonctionner normalement, on ne parle plus d’un simple stress… on parle d’une phobie envahissante. Que ce soit la peur des foules, de tomber malade, d’échouer, ou simplement de sortir de chez soi, cette réalité touche beaucoup plus de personnes qu’on l’imagine.

Il est là dès le matin. Il est là juste avant de dormir. Il est là quand on mange, quand on travaille, quand on s’ennuie, quand on s’émerveille. Notre téléphone est devenu un prolongement de nous-mêmes. Mais pourquoi est-ce qu’on a tant de mal à s’en séparer? Qu’est-ce que ça fait à notre cerveau? Et quelles en sont les conséquences?

La rentrée approche… mais au lieu d’excitation, ton enfant te confie qu’il a peur. Peur de retourner à l’école, peur de se sentir seul, peur d’être jugé, ou simplement peur de l’inconnu. Pour beaucoup d’enfants, cette période est source d’anxiété. En tant que parent, il peut être difficile de savoir comment répondre à cette insécurité. Pourtant, il existe des moyens concrets pour comprendre et soutenir ton enfant.

Ferme les yeux un instant et imagine… Tu entres dans une pièce, tu tiens droit. Tu n’as pas besoin de parler fort, ni de prouver quoi que ce soit. Tu es bien. Sûr de ta valeur. Tu avances, tu oses, tu t’exprimes. Pas dans l’arrogance, mais dans la certitude tranquille que tu as ta place. C’est ça, la confiance en soi. Mais pour beaucoup de gens, cette image semble utopique. On l’envie. On l’attend. On la cherche… parfois toute une vie.

Et si, pour calmer ton esprit, tu laissais ton cerveau vagabonder librement?La méthode de l’acrostiche relaxant repose sur un principe simple mais puissant : laisser les mots venir, sans jugement, en suivant les lettres d’un mot déclencheur. Pas besoin que ce soit zen, poétique ou logique. Ce qui compte, c’est de stimuler ton cerveau d’une manière douce, spontanée et non menaçante.

Vous avez l’impression que votre tête déborde ? Que chaque tâche de plus est celle de trop ? Vous n’êtes pas seul. On appelle ça la surcharge mentale (dans notre société connectée 24/7, c’est presque devenu la norme!). Pourtant, cette saturation du cerveau a des conséquences bien réelles sur la productivité, l’humeur, la santé… et même la mémoire.

Dans le tourbillon de la vie moderne, entre travail, famille, obligations sociales et imprévus, il est facile de s’oublier. Pourtant, prendre du temps pour soi n’est pas un acte égoïste. C’est une nécessité profonde. Un besoin biologique, émotionnel et cognitif. C’est un acte de santé mentale ; c’est aussi un levier puissant pour mieux performer et mieux aimer.

Sur Instagram, YouTube ou TikTok, il ne faut que quelques secondes pour voir des villas, des jets privés, des montres de luxe et des styles de vie spectaculaires. Mais ce qu’on voit n’est pas toujours vrai... surtout : ce n’est jamais neutre pour notre cerveau.

Les enfants vivent l’année scolaire comme une série de repères : routines, horaires, enseignants, règles. Même si parfois contraignants, ces repères offrent une structure sécurisante pour leur système nerveux. Mais dès que la routine commence à changer (sorties scolaires, remises de bulletins, boîtes à lunch vides, absence de devoirs), le cerveau entre dans un mode d’adaptation accélérée... et il n’est pas encore prêt pour ça!

Il est simplement dans une phase normale du développement neurologique qu’on appelle l’opposition. Et cette phase, bien qu’épuisante pour les parents, est aussi essentielle à sa construction intérieure.

Chaque soir, c’est la même chose : tu dis qu’il est l’heure du bain… et il se cache. Tu proposes d’éteindre les écrans… et c’est la crise. Tu annonces l’heure du dodo… et il te sort une question existentielle : “Est-ce qu’on meurt vraiment un jour?”

“Le cerveau adolescent est en construction. Mais il a besoin de structure, pas de pression.”

Le cerveau de l’enfant se développe de l’arrière vers l’avant et de l’intérieur vers l’extérieur. Cela signifie que les régions les plus “émotionnelles” (amygdale, tronc cérébral) sont matures très tôt... mais les régions les plus “rationnelles” (cortex préfrontal) ne seront pleinement fonctionnelles qu’à l’âge adulte (entre 22 et 25 ans).